Faisant fi d´une possible trêve dominicale, une légion de taons me déclare la guerre. Mes gesticulations défensives doivent intriguer ce geai qui me survole. Pourquoi, doit-il se demander, cet énergumène bipède et masochiste s´administre-t-il des claques sur les cuisses, les mollets, les joues et les avant-bras ? |