L'ombre
des grands arbres étale sa fraîcheur sur ma peau découverte. Crânement (c'est le cas de le dire),
je n'ai aucune protection à cet endroit de mon anatomie. Ce matin, à l'abri sous les feuillages, je fanfaronnais devant l'astre solaire. Mais cet après-midi, il me rend la monnaie de la pièce. Une fois n'est pas coutume : sa vengeance est un plat que je mange chaud, très chaud ! |